UN CAILLOU DANS LA POCHE 6
Des marais dont le salant s’en est allé dans j’ignore quel grenier. Un vide de deux. Marche à la puce. Il y a là comme un amer vide de trottoir…
L’évent à part Jonasz quand il habite la baleine, l’aqueux de son piano bandé et les dix commandements au bout des doigts, qui, hein dis moi qui n’a pas craché dans la soupe ?
Si à la ligne, il faut un jour passer, ce serait une putain de lacune d’avoir pas marié la marge. Garde le pisse-drû.
Niala-Loisobleu – 28 Août 2017
L’Alliance
Le vent qui disperse et le vent qui rassemble, l’inintelligible, le vivant! Nous ne dormirons plus. Nous ne cesserons plus de voir. De pourvoir le feu.
Obscur horizon! Seule brûle la tranche d’un livre, — quand je me détourne.
Jacques Dupin
Un Caillou dans la Poche 6
2017 – Niala – Acrylique sur contrecollé, encadré s/verre 18×24
Le tant se rise allégrement quand il trouve les alizées pour voguer.
Merci imhireal.
Quelques rires d’enfants qui passent les années sans rides, ça protège mieux qu’une promesse d’adulte jamais tenue.
Merci lesideesdemimi .
Qui suis-je ? Avec moi on manque pas de pistes.
Merci Angelilie.
Celui ou celle qui a besoin de mentir ne possède guère de confiance en lui, qu’en regard de ses buts, de ses actes ou de ses ambitions, s’il doit les masquer, les déguiser, les maquiller, les taire, c’est qu’il ne les habite pas vraiment mais en conçoit, sinon l’ignominie, du moins la relativité ; il prend le risque, dans ses entreprises, de s’isoler ou s’aliéner l’accord de complices dont rien ne prouve qu’il peut leur faire confiance.
La lâcheté étant le limon de sa conduite il va passer son existence à se persuader qu’il a changé. Et comme effaçant la veille il la reproduit le lendemain avec un ou une autre qui va lui servir de terrain de jeu. Morbide existence que les croyances de tous poils vont rassembler sous leur bannière.
Merci Juliette.
Ne laisse pas l’image de ta vie se faire proposer un rôle de cinéma. Joues la sans mettre ton nom sur la fiche.
Merci phoenixwebTV.
Entre ce qu’il y de déception et de banalité, l’espace est large pour introduire son imagination.
Merci Julie Dehais.