UN CAILLOU DANS LA POCHE 4
Où que je sommes je vous être.Vélo à roues, Pédale yéyé tout au long d’un long fleuve. Source / Estuaire/ Navette. L’ô debout c’est auto-éclusant. La grenouille par l’échelle à poissons marche de pair avec la pêche à la baleine. Avez-vous un sombre cumulus dans la culotte de ch’val ? Alors cliquez pour changer de page, je ne soigne plus les malades du bulbe. Je retraite. Les réparations de bien-être c’est affaire personnelle. La peinture c’est difficile d’en vivre. Pourtant malgré l’absence des avantages sociaux, ça vous transforme en Urgences pour sortir de la merde ceux qui ont le culot d’en vendre de la très mauvaise. Tout ça pour ça : t’es sensible à saigner, t’es généreux, t’es con par savoir. Et le pire: t’es humble. Alors que les boiteux ont un culot indécent qu’ils exhibent plein champ. Je roule dans les luminaires. La nuit comme le jour. Que les étoiles en descendent dans les réverbères allumer les rues de rêves à monter soi-m’aime. Artiste c’est pas un métier, c’est un sacrifice. Ce qui explique toute la différence de la vision que ça donne de l’humain.Pédale mon Alain, pédale, avant que ta poche soit percée.
Niala-Loisobleu – 19 Août 2017
Un Caillou dans la Poche 4
2017 – Niala – Acrylique s/Canson marouflé, encadré s/verre 40×50